L’histoire du Pub Saint-Alexandre
En 1946, la Taverne Coloniale ouvre ses portes dans cette enceinte qui devient alors pendant des années le rendez-vous branché des étudiants de l'Université Laval. En 1987, lorsque la famille Barré redéfinit la vocation de l'établissement, on y introduit alors des bières des quatre coins du monde et une cuisine offrant des spécialités régionales dignes des brassins les plus nobles. Quant à la décoration, elle se veut invitante et chaleureuse : boiseries d'acajou, miroirs, un bar d'une douzaine de mètres.
Mais il faut rebaptiser l'ancienne taverne de la rue St-Jean. Un soir, au repas, la famille procède à un traditionnel tour de table. Et de tour de table en tour de table, le petit Alexandre, 3 ans, insiste et propose son nom : Alexandre! Alexandre! s'écrie-t-il chaque fois que vient son tour. C'est donc ainsi que l'on baptise le PUB SAINT-ALEXANDRE. Mais l'histoire ne confirme pas si le petit Alexandre est devenu un saint!
DE LA TAVERNE COLONIALE AU PUB SAINT-ALEXANDRE
Les vieilles briques du pub St-Alexandre doivent leur patine à une tradition centenaire de commerce et d'hospitalité. Des 1887, l'édifice accueillait la boutique d'un maitre-chapelier qui a eu pignon sur rue Saint-Jean jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale.
En 1946, la Taverne Coloniale ouvre ses portes dans cette enceinte. Les étudiants de l'Université Laval, alors sise intra-muros, s'y donnent rendez-vous pendant des années afin de parfaire leur formation.
Aujourd'hui, le Pub Saint-Alexandre vient renouveler la coutume en l'internationalisant. Les bières venues des quatre coins du monde arrosent maintenant les conversations. De son côté, la cuisine s'applique à faire honneur aux pays producteurs de bière en offrant des spécialités régionales dignes des brassins les plus nobles.
Les boiseries d'acajou, les miroirs et le bar, long d'une douzaine de mètres, ajoutent une touche chaleureuse à l'atmosphère feutrée du Pub. La qualité de votre présence demeure toutefois la composante essentielle de l'esprit des lieux. Nous vous en sommes gré.
